Me revoilà...

Je me suis un peu éloignée du BDSM, ou du moins de mes écrits, parce que beaucoup de petites contrariétés, l’esprit plutôt négatif, et donc aucune envie de relater quoi que ce soit.

L’orage est passé, le ciel s’est de nouveau éclairci, j’ai tout bien digéré, je reviens alors après cette longue période de silence, avec de nouvelles expériences vécues. Et surtout avec la conscience que mon cher Maître, même s’il ne me dit pas tout, prépare dans l’ombre la mise en scène de nouvelles situations adaptées a ma progression.

L’événement majeur survenu depuis notre retour est une soirée organisée chez mon Maître, avec un couple que nous connaissions déjà.

                         

Je sentais depuis plusieurs semaines chez mon Maître, l’envie de me voir partager des jeux Bi, avec une autre soumise de façon active pour ma part.

                               

Je n’ai aucun souvenir, aussi ancien soit il, d’avoir un jour fantasmé sur une autre femme. L’objet de mes fantasmes, reste exclusivement masculin. je trouve beau le corps de la femme, douce la peau de la femme, mais aucune excitation ne me vient à l’idée de ce contact.

J’ai déjà refusé, une fois de toucher le sexe d’une autre soumise consciente de commettre une faute dans le refus de cet ordre donné par mon Maître, mais je ne pouvais l’envisager.

J’ai accédé à la requête de mon Maître lors de cette dernière soirée, pour son plaisir, parce que dans ma tête l’idée était devenue plus acceptable, parce qu’avec cette soumise là, il existe une complicité réelle.

                                  

Alors non, mon cher Maître !!!! Je ne suis décidément pas Bi !!! Comme nous nous amusons régulièrement à le dire en plaisantant vous n’avez pas de chance avec votre soumise !

Elle n’est pas Bi !

Mais elle se prête volontiers aux jeux que vous lui préparez avec toujours autant d’imagination (mon Maîtrastuce !)

Et même si je vois poindre les prochaines étapes avec une certaine angoisse, je vous laisse mener la danse, car vous me connaissez mieux chaque jour et vous saurez juger le moment venu si je suis prête ou pas à respecter les futures consignes.